samedi 6 décembre 2008

la golf serie 6 en Algerie

Elle s’est vendue à plus de vingt-six millions d’exemplaires depuis son
lancement,elle est à sa sixième génération et n’a pas encore cessé de charmer et
d’agrandir son cercle. Elle semble naître et exister pour toujours accrocher
chaque génération. Ses concepteurs n’ont sûrement pas prévu ni imaginé une vie
aussi longue jusqu’à la pousser à imposer une fidélité.


La Golf est toujours attendue pour ses différents restylages, elle n’annonce jamais sa fin de carrière. Elle collectionne des fans a travers le monde, en Algérie elle reste la plus crédible de son segment. Qu’est-ce qui change dans une Golf de génération à génération, ce n’est sûrement pas l’extérieur, elle suit tout simplement l’évolution technologique, elle reste à chaque fois à l’écoute des innovations sans trop s’attarder sur la forme, la Golf 6 répond aux exigences de l’heure, donc elle s’adapte pour s’inscrire dans le fond. C’est un modèle qui porte des gènes de réussite, c’est une voiture de grands-pères en petits-fils. La question pourtant simple que se posent les spécialistes de la presse automobile, sans pouvoir le dire aux experts de la marque germanique lors des points de presse en marge des tests-drive, est toujours à quand la fin de la série. La Golf refuse de mourir, et ce n’est pas un jeu, tout le monde est condamné à la suivre et personne ne risque d’assister à son agonie. Cette Golf sixième génération, nous l’avons essayé en Islande, sur des circuits différents, de plus de 400 km, un parcours assez important qui nous a permis de la découvrir et surtout d’apprécier les changements effectués sur elle. La première constatation est qu’elle a pris plus de valeur, la qualité intérieure monte d’un cran, la planche de bord a été dessinée pour atteindre le style de la Passat CC, les spécialistes s’accordent à dire que ce nouveau-né est venu apporter quelques rectifications par rapport à la Golf 5 et aussi en tenant compte de la catégorie où elle est positionnée. Il n’était donc pas nécessaire au constructeur d’arrêter ce modèle sous prétexte que la concurrence en a créé d’autres. En introduisant les nouvelles technologies et en upprimant les précédents matériaux qui ont fait d’elle une voiture austère à l’intérieur, la Golf 6 est devenue un concentré de robustesse, de puissance et de confort. Pour son lancement, la Golf se présentera avec quatre motorisations différentes, ssence et Diesel (TSI et TDI). La différence echerchée par tout un chacun si lle ne s’avère pas évidente à première vue comme l’a constaté un des invités de SOVAC, en Islande pour essayer cette oiture (lire encadré), cependant cela se vérifie lors du parcours, où la consommation connu une certaine reduction. Le moteur TDI se présente très souple et moins bruyant. Cinq ans après le lancement e sa précédente, l’actuelle est arrivée vec plusieurs arguments, le constructeur germanique n’a hangé que ce qu’il fallait et ne vous étonnez surtout pas si les lignes extérieures demeurent dentiques même si les phares ont connu une autre forme. Tout est à l’intérieur, les amoureux de la Golf apprécieront sûrement la subtilité et pourront ésormais garder leur Golf à vie, ils ne changeront que les chiffres, la 7 sera sûrement la bienvenue dans quelques années.
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samedi 29 novembre 2008

Après la Porsche Panamera, l’Aston Martin Rapide se montre à son tour

Il y aura bientôt un vaste choix sur le segment des coupés sportifs quatre portes de luxe puisque quelques jours après la Porsche Panamera, l’Aston Martin Rapide fait sa première apparition publique.


La réponse du berger à la bergère ! Quelque jour après la publication par Porsche des premières photos officielles de la Panamera, c’est au tour d’Aston Martin, via un premier rendu officiel présenté par Car Magazine, de faire de même pour sa Rapide, nouvelle venue sur le segment décidemment très en vogue des coupés sportifs quatre portes de luxe. Avec la Maserati Quattroporte et la Lamborghini Estoque, le quatuor sera au complet à partir de 2012.

La Rapide est attendue quant à elle dès 2010, soit quatre ans après la présentation du concept car au salon de Detroit 2006. Par rapport à ce prototype, la calandre est toujours scindée en deux grilles, celle du haut étant plus proéminente que l’originelle. Les entrées d’air latérales ont disparu tandis que sur les ailes, la nervure de caisse est plus marquée et part désormais du haut des phares. Elle se prolonge à travers les portières jusque dans le coffre, passant par le bouchon de réservoir, désormais peint couleur carrosserie et non plus chromé. Le chrome est par contre présent à l’arrière, juste sous les feux. Sur le dessus, un toit en verre fera prendre la lumière aux passagers, qui profiteront également d’écrans LCD incrustés dans les sièges avant.

La motorisation n’aura rien d’écolo (on s’en serait douté) puisque la marque britannique prévoit d’équiper sa Rapide d’un V12 de 6.0l et 500 chevaux. Contrairement à Porsche et à Lamborghini, l’hybride n’est pas au programme. A noter que la Rapide sera la première Aston Martin à ne pas être construite en Grande-Bretagne. C’est l’Autriche qui accueillera sa production.
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lundi 20 octobre 2008

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dimanche 13 juillet 2008

Volkswagen Scirocco 1.4 TSI 160 ch : Annonciateur d'un vent nouveau




Le 26 août 2006 nous fûmes invités dans un aérodrome berlinois afin de découvrir en avant première un concept Volkswagen au nom évocateur de IROC. Un coupé aux allures de reptile verdoyant, qui devrait marquer le retour d'un modèle disparu du catalogue depuis près de 16 ans et vendu à plus de 800 000 exemplaires : le Scirocco. Le modèle de production dévoilé cette année au salon automobile de Genève avait réveillé notre enthousiasme avec sa silhouette restée fidèle au concept, mais une fois à bord nous avions moins apprécié d'y trouver l'habitacle d'une EOS.Pour leurs baptêmes du feu, les Scirocco GT24 ont remporté les 1ères et 2èmes places cette année aux 24h du Nurbürgring en version 2.0 litres Turbo. Nous avons été invités à prendre en main la version civile de la bête, à Lisbonne, près de l'usine de production de Palmela.

Un premier dilemme se pose lorsque nous sommes conviés à choisir notre modèle d'essai parmi les nombreux Scirocco qui lézardent au soleil. Bleus, blancs, rouges, noirs, quelque soit la couleur, le Scirocco capte magnifiquement la lumière, mais plus particulièrement dans son extravagante livrée verte nacrée, très proche du "vert vipère" du concept. Une couleur qui souligne parfaitement les lignes et courbes agressives de cette bête à sang froid. Un vert très "animal", par lequel nous sommes irrésistiblement attirés, mais aussi une surprise mêlée d'enthousiasme, car un coloris malheureusement absent au dernier salon de Genève. Même silhouette athlétique, même peau, le Scirocco est resté très fidèle au concept IROC. Mais en regardant en détail, quelques évolutions sont tout de même visibles. La plus fragrante est l'abandon de l'imposante calandre couleur aluminium anodisé, qui contribuait en grande partie à son originalité. Un allègement esthétique bénéfique au look général, qui devient plus fluide avec le fin museau noir verni et le logo déporté sur le capot, mais aussi nécessaire pour différencier la nouvelle signature stylistique des futures Volkswagen (Polo, Golf VI.) du "Single Frame" d'Audi (et aussi de la Mitsubishi Lancer). D'ailleurs, je trouve qu'avec ses optiques acérées, le regard perçant du Scirocco a parfois des airs d'Audi R8.Plus globalement, on constate que la caisse est plus large de 5 cm et plus longue de 6 cm qu'une Golf GTI, pour un empattement identique. La hauteur au niveau du toit est plus basse de 8 cm ! Des proportions audacieuses pour une berline mais idéales pour un coupé 4 places tel que le Scirocco. Les caractéristiques principales du look reposent sur sa longue ligne de toit d'1.80 mètre et sur l'épaulement extrême de sa poupe, qui lui octroient une silhouette de shooting break et un dynamisme certain. La forme volontaire du vitrage latéral et des montants C, participent également à l'allure moderne et expressive, au même titre que les flancs creusés, soulignés par des protections basses (afin de conserver la fluidité de la ligne). Enfin, notre modèle d'essai est équipé de magnifiques jantes Interlagos de 18 pouces facturées 467 euros.